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Quatre "Ingénieures d'état" ont découvert le "soudage" au CIARA…
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Au début du mois d'avril 2010, quatre filles, ingénieurs d'état ont suivi au Ciara durant trois jours une formation au soudage. Nous leur avons demandé de faire un rapide bilan de cette expérience originale.

Nos quatre "ingénieures" ont beaucoup apprécié "l'ambiance du stage", même si elles ont trouvé cette formation un peu "trop courte". Parmi les raisons qui les avaient poussées : "la curiosité", bien sûr ; mais aussi "le désir de découvrir les secrets d'un métier considéré comme un métier d'homme". L'une des quatre a dit avoir "adoré la pratique de la soudure".

Elles ont appris à "ne pas avoir peur des étincelles", à "utiliser l'électrode enrobée" et à "tenir correctement la pince à souder", … Elles pensent que cette formation pourra leur "être utile" plus tard, soit pour "souder à la maison", soit pour "diriger un soudeur qui ferait partie de leur équipe". A l'issue des trois journées, elles estiment avoir acquis "les connaissances de base" et un minimum de "savoir-faire pratique" dans le domaine du "soudage".

Pour un futur stage, elles nous ont suggéré une durée plus longue qui permette "davantage de pratique" ; elles souhaiteraient pouvoir "acquérir des connaissances sur le procédé TIG" et "une bonne maîtrise de tous les procédés de soudage"

 

Interview: Leila ABDELMALEK

synthèse: Bernard MALLET

Journal de la rentrée de la 23ème session du CIARA- 27 septembre 2009

23ème promotion du CIARA par Amin Idjer

Le 27 septembre dernier, le CIARA a accueilli une nouvelle promotion, la 23e. Un chiffre qui montre bien le chemin parcouru. Cela me donne envie de paraphraser Mouloud Feraoun: « Je me rappelle comme si cela datait d’hier de mon entrée à l’école ».

Ils étaient là- ces jeunes diplômés-  tous en train d’attendre calmement dans la salle de lecture. Certains en retrait, encore seuls. D’autres, déjà intégrés, discutent en petits groupes.

Certes, ils sont tous différents, mais un point en commun les relie : cette soif d’apprendre, de surmonter les obstacles, avec l’envie de réussir.

Le 27 donc, cette trentaine de stagiaires est venue conforter la raison d’être du CIARA : acquérir les outils nécessaires pour décrocher un premier emploi.

Ce qui est remarquable, c’est qu’on arrive à lire sur leur visage leur détermination. C’est un autre monde qui s’ouvre à eux : le monde du travail et de la vie professionnelle en perspective.

Ils en sont conscients ! Ce stage post universitaire est un grand pas vers le monde du travail.

Ces jeunes qui constituent  l’avenir du pays ne veulent qu’une chose, s’améliorer et trouver un travail où ils puissent s’investir. Ils ne demandent qu’à faire leurs preuves. Car ils sont tous capables de réussir, d’occuper des postes et/ou des emplois stratégiques.

Les ressources sont là, il ne leur manque que la « confiance en soi » et un certain savoir faire. C’est ce « plus »  qui, une fois acquis, peut ouvrir toutes les portes, surtout celle d’une carrière professionnelle à la mesure des rêves et des diplômes de chacun !

  • Nous avons demandé à Monsieur JP Grangaud, vice president du CIARA ses réactions à la fin de cette journée.

C’est lui qui traditionnellement ouvre la nouvelle session.

Quel est  l’objet  de cette première journée ?

Le Premier jour, on rappelle l’objectif final de notre association : être un véritable appui à l’insertion professionnelle  des jeunes.

Pour se faire, nous détaillons le contenu de la formation aux stagiaires, qui sont très avides de connaître le programme de ces 3 mois.

Nous rappelons les règles de fonctionnement du CIARA.

Nous leur présentons les cours, modules et séminaires qu’ils vont suivre au fil des semaines.

Nous insistons sur l’engagement et la somme de travail exigé au quotidien.

Mais c’est pour la bonne cause : à l’issue de  ce séjour, ils doivent être armés pour trouver un emploi.

Comment avez-vous trouvé le comportement des stagiaires lors de cette première rencontre ?

Chaque rentrée est différente. C’est ce qui en fait le charme. Les groupes se constituent plus ou moins vite.

Ce groupe est un groupe particulièrement ouvert. Il est plus informé sur le  CIARA que les groupes précédents.

Je me souviens des premiers groupes : les jeunes  ne savaient même  pas ce que le CIARA était une association.


  • Monsieur Sahnouni est parmi les premiers enseignants de français. Il est intervenu presque au tout début du CIARA. C’est un élément important de notre association.

Nous lui avons demandé comment c’était passé cette rentrée.

Quelle est votre impression sur cette première rencontre avec les stagiaires ?

Premier impression : très favorable !

Les stagiaires sont encore pour l’instant des anonymes mais durant ces trois mois, ils vont s’ouvrir aux autres et se révéler à eux même.

C’est à chaque fois le même miracle : le courant de sympathie initial finit par irriguer les relations entres eux, avec les enseignants puis avec l’extérieur.

Et c’est toujours un grand plaisir de mesurer le chemin parcouru entre le premier jour et le dernier et les transformations opérées sur chacun tout au long de ce programme.

Nous avons aussi interviewé des nouveaux stagiaires :

Quelles sont vos premières impressions à l’issue de cette journée ? Comment l’avez-vous vécu ?

  • Interview de Madjid

L’ambiance est bonne. le mode de vie et le règlement intérieur me plaisent

Dés le début, le cadre est posé : le Directeur est franc avec nous et fixe les règles à suivre pour réussir.

L’endroit est magnifique.

  • Interview de Samira

J’ai un peu le trac! et je me pose beaucoup de questions :

Est ce que c’est le même système que d’autres écoles ?

Est ce que ça va bien se passer avec les formateurs ?

L’endroit est un peu isolé et le chemin me fait encore peur.


  • Interview d’un nouveau stagiaire Rafik


Je trouve cet environnement chaleureux. Il y a un esprit de travail et de la rigueur :

Tout le monde se sent obligés d’être ponctuels.

J’ai l’impression que les enseignants sont très qualifiés, le personnel est très accueillant

C’est le milieu idéal que l’étudiant souhaite avoir pour améliorer ses compétences afin de trouver un emploi.

J’ai un peu le trac sur le déroulement du programme. Serai-je à la hauteur !

Mais j’ai envi que ça commence le plus vite possible .J’ai hâte de commencer de connaître les formateurs et de travailler.


  • Interview de Rima

J’ai un peu de trac, c’est nouveau pour moi

J’ai consulté le site du CIARA donc j’ai une idée générale sur le contenu et la méthode de travail.

Le site est bien fait et les informations fournies répondent à nos questions


  • Interview de Sadek

C’est merveilleux, c’est calme, bien organisé.

Je me suis déjà  fait des amis.

Je suis content car je vais faire des travaux pratiques en électrotechnique : c’est ce dont j’ai besoin.

Propos recueillis par: Leila Abdelmalek